Beaucoup de personnes sont inquiètes par rapport à la crise énergétique actuelle et à l’avenir du climat. Peut-être avez-vous entendu parler du scénario du pass climatique (climate change scenario) qui prévoit que les prix de l’énergie s’envolent pour monter à des niveaux que nous n’avons jamais connus. Quels que soit la suite des événements, tous laissent à penser que le quota carbone va rentrer dans notre vie du quotidien.
La crise énergétique
Entre monter des prix de l’électricité et du carburant, les différents gouvernements mettent un accent sur les habitudes de consommations des citoyens en rapport avec le réchauffement climatique. En effet, nous avons pu constater cet été que de nombreux feux de forêt ont ravagé la France et beaucoup d’autre pays du globe. Cependant, bien que ces feux aient été pour la plupart déclarés de gestes malveillants ou de criminel, les médiats ont préférer culpabiliser les populations sur les effets du réchauffement de la planète.
De l’idéologie aux mesures de contrôle, nous avons pu constater les deux dernières années avec la crise sanitaire que les populations ont pris part à la doctrine mise en avant par les média pour accepter différentes mesures de contrôle sociale sans rien dire.
De la crise sanitaire à la crise énergétique
Si la crise du COVID a pu nous apprendre quelque chose, il suffit de regarder aujourd’hui le dérouler de la crise énergétique pour s’apercevoir que la stratégie du gouvernement est la même.
La rhétorique qui envahit les médiats ressemble maladroitement à la rhétorique du COVID 19. Faites un copié-collé et remplacez » crise sanitaire » par « crise énergétique », par exemple :
- Vague de contamination/vague d’inflation
- Pic de contamination/pic de l’inflation
- Même le slogan « tester, tracer, isoler » a été remplacé par « je baisse, je coupe, je décale »
- Les cartes de France montrant les zones de forte contamination est remplacée par des zones de forte consommation.
- Le code couleur est le même : Vert, orange et rouge.
- La société qui à mis en place « CovidTracker » est déjà sur la nouvelle application « TrackMyWatt »
Lors de la crise sanitaire, l’accessoire à la mode sur les plateaux télé était bien entendu, le masque. Ainsi, pour la crise énergétique, c’est le col roulé et la doudoune qui prend la place du costume sur les plateaux.
Au début de la crise sanitaire, nos dirigeants nous ont demandé de faire des efforts pour éviter les contaminations. Maintenant, il faut faire des efforts en réduisant notre consommation électrique pour limiter les pics de consommation électrique.
Que vont-ils nous demander par la suite ? Imaginons que les efforts demandés aux Français ne soit pas suffisant ou ne soit tout simplement pas respecté. Comment faire pour imposer les mesures de restriction énergétique à la population ?
Les solutions envisagées
Le délestage, cette mesure qui a été proposée par le gouvernement en août 2022 pour laisser les entreprises travailler pendant les périodes d’activité risque de montrer ses limites. En effet, beaucoup de villes ont déjà mis en place la plupart des mesures en réduisant le chauffage dans les lieux publics, en fermant les piscines municipales, etc.
Cependant, le froid ne c’est pas encore installé dans le pays, enfin, l’hiver n’est pas encore là… C’est pourquoi, nous avons bien compris que le délestage ne suffira pas pour contrer le manque d’électricité pendant la période hivernale.
Le pass climatique, reste la solution la plus évidente pour imposer les restrictions énergétiques à la population. Bien entendu, imposer un quota carbone à la population forcera tout le monde à baisser, à couper, à décaler.
Mais la contrainte économique sera bien plus forte que la contrainte politique. Tout le monde va comprendre que rien ne se fera sans l’argent. C’est valable pour toutes les études. La recherche sur les biotechnologies, la recherche dans le domaine des sciences de l’information et de la communication, la recherche sur les nouvelles technologies d’information et de communication, la recherche sur l’énergie et notamment les nouvelles formes d’énergie.
Comment contourner les mesures de restriction ?
Se préparer pour ne pas subir. Plusieurs solutions existent pour limiter votre « empreinte carbone ». C’est pourquoi, investir dans des systèmes dit « à économie d’énergie » est aujourd’hui très important pour ne pas se retrouver emprisonné par ses habitudes de vie. Vivre-sans-electricité.fr vous propose différentes solutions pour limiter votre consommation d’énergie.
Ainsi, les installations solaires photovoltaïques permettent de produire de l’énergie utilisable dans les maisons. Elles sont de plus en plus utilisées par les particuliers comme par les professionnels. Ces installations photovoltaïques produisent de l’énergie électrique grâce à la production d’une électricité par le biais des rayons du soleil. Il en existe aujourd’hui plusieurs types qui permettent d’utiliser cette énergie pour plusieurs usages : chauffage, eau chaude sanitaire, production électrique en autoconsommation.
Les conséquences de la crise énergétique
Mais aussi, des solutions alternatives pour se laver, se chauffer ou se faire à manger.
Il y a quelques années, je partageais ce billet. Il faudrait le rafraîchir.
En effet, depuis le taux national de pauvreté en France, est passé de 14,2 % à 14,6 %.
C’est-à-dire que, même si ce n’est pas dramatique. 600 000 personnes supplémentaires sont tombées sous le seuil de pauvreté en France.
Pour l’association France Terre d’Asile. Ce chiffre représente « près de 20 % des Français sont tomber sous le seuil de pauvreté depuis le début de l’année ».
Le pass climatique, s’il vous impose de devoir payer pour racheter des points ou tous simplement de payer une taxe en fonction de vos consommations. Le nombre de personnes sous le seuil de pauvreté risque d’exploser. Ce que nous pouvons le constater depuis le début de la crise énergétique.
Le pass climatique en est un exemple parmi d’autres.
L’objectif de ce système ! Taxer davantage les personnes qui ont des revenus suffisants pour payer à la fois leurs factures d’énergie et des taxes supplémentaires du fait de leur niveau de revenus. Son objectif est d’exclure les plus pauvres en mettant en avant la politique écologique. Elle est utilisée pour augmenter les impôts et créer une taxe supplémentaire sur les ménages.
